CBD et métabolisme : le cannabis vous aide-t-il à perdre du poids ?

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Written By Erwan fan du CBD en thé

Passionné par le CBD, j'écris des articles sur ce sujet. J'ai découvert le CBD en 2015 aux états-unis lors d'un voyage pro.


Depuis que la science a commencé à étudier les effets de cannabidiol (CBD) sur métabolisme humain, de plus en plus de groupes de recherche s’efforcent de mieux comprendre la nature et l’efficacité réelle du CBD. Un des axes de recherche concerne l’action du CBD sur notre système endocannabinoïde.

Pour le moment, nous connaissons deux récepteurs cannabinoïdesnommé CB1 (identifié pour la première fois en 1990) et CB2 (découvert trois ans plus tard, en 1993).

Les deux récepteurs sont présents dans diverses parties du corps, du cerveau aux reins et au foie. La raison de l’intérêt scientifique pour l’exploration des mécanismes d’action du CBD réside dans le fait que, année après année, de plus en plus de preuves ont émergé des effets bénéfiques potentiels de cet ingrédient actif dans le chanvre.

La rôle du cannabis sur le métabolisme représente l’une des questions sur lesquelles la recherche scientifique a commencé à enquêter relativement récemment. Encore plus récemment certaines publications ont tenté de faire le point sur le rôle du CBD sur le métabolisme et ses possibilités effets positifs dans la réduction du tissu adipeux.

Le rôle du système endocannabinoïde dans le métabolisme

Il a été publié en mars 2018 Récepteurs cannabinoïdes et système endocannabinoïde : signalisation et fonction dans le système nerveux centralla revue des études menées jusque-là sur la relation entre les principes actifs du cannabis et notre système endocannabinoïde.

L’examen a été publié dans l’International Journal of Molecular Science et a été coordonné par Shenglong Zou et Ujendra Kumar, du département de pharmacologie de l’Université de la Colombie-Britannique à Vancouver.

Les auteurs ont rappelé que les effets biologiques des cannabinoïdes, principaux principes actifs de la plante Cannabis sativa, sont portés par les deux récepteurs cannabinoïdes CB1 et CB2. Les effets du CBD sur les deux récepteurs ont attiré beaucoup d’attention pour le potentiel thérapeutique dans divers domaines médicaux.

Selon les auteurs, le cannabidiol (CBD) a montré un large éventail d’effets pharmacologiques prometteurs d’un point de vue thérapeutique, à la fois pris seul et en association avec d’autres médicaments indiqués pour une thérapie.

Malgré cela, les mécanismes d’action réels du CBD doivent encore être étudiés en profondeur. Pour l’instant on sait que deux cannabinoïdes CB1 et CB2 sont tous deux activés par des composés endogènes (endocannabinoïdes) et participent à de nombreux processus physiopathologiques (tels que la régulation de la perception de la douleur, le système cardiovasculaire, le système gastro-intestinal et les fonctions du foie).

Le système endocannabinoïde régule, entre autres, l’équilibre énergétique et le métabolisme. Notre système endocannabinoïde comprend également enzymes métaboliques et est impliqué dans le transport des nutriments et la récupération de l’énergie. Deux cannabinoïdes (anandamide et 2-AG 2-arachidonoylglycérol) agissent sur les deux récepteurs CB1 et CB2 qui, s’ils sont stimulés par le CBD, contribuent davantage à l’absorption de aliments et son nutriments.

Cannabis et appétit

La relation entre cannabis, Source de courant Et stimulation ou réduction de l’appétit il est largement débattu et une conclusion claire n’a pas encore été tirée. Bien que l’ingrédient actif THC soit connu pour stimuler l’appétit – un phénomène connu dans le langage courant sous le nom de « grignotines » – il n’existe aucune preuve scientifique cohérente que le THC soit directement lié à la prise de poids. corporel, en effet.

En 2011 une étude de Yan Le Strat, psychiatre à l’Université de Paris, a souligné que, paradoxalement, l’incidence de l’obésité est plus faible chez les consommateurs réguliers de cannabis. L’auteur a présenté des données pures, obtenues à l’aide de deux études épidémiologiques représentatives de la population adulte des États-Unis d’Amérique : la National Epidemiologic Survey on Alcohol and Related Conditions (NESARC – 2001-2002) et la National Comorbidity Survey-Replication (NCS- R ; 2001-2003).

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La consommation de cannabis, selon les échantillons, pourrait être associée à un indice de masse corporelle plus faible. Cependant, Le Strat lui-même a immédiatement précisé, ce sont des résultats qui doivent être approfondis pour comprendre si la corrélation existe réellement ou si tout dépend d’une interaction entre d’autres variables.

Quand il s’agit des effets de THC pour stimuler une sensation d’appétit, il est bon de prendre en compte une étude menée par des chercheurs de l’université de Yale et publié dans Nature, qui a expliqué la base physiologique de cette “faim” typique causée par le cannabis. Les chercheurs ont analysé les neurones qui se déclenchent dans le circuit des récepteurs CB1, les tristement célèbres cellules du système endocannabinoïdeet les neurones pro-opiomélanocortine (Pomc) qui transmettent et nous font ressentir la sensation de satiété.

L’étude, menée chez la souris, consistait à stimuler les neurones au centre de l’étude. Les chercheurs ont voulu tester si en activant le Récepteurs CB1 chez les souris avec un estomac plein, cela faisait suite à une activité réduite des neurones Pomc et que, par conséquent, elles avaient faim.

Les chercheurs ont constaté que les neurones Pomc ne diminuaient pas leur activité mais l’augmentaient : malgré l’activation du mécanisme qui transmet le sentiment de satiété, les souris mangeaient quand même.

À ce stade, les chercheurs ont voulu approfondir leurs recherches et ont découvert que les neurones Pomc libèrent normalement une hormone (hormone α-stimulante des mélanocytes) qui provoque la satiété et la bêta-endorphine, une substance qui confère une sensation de bien-être. . Dans le cas où les neurones Pomc sont activés par le principes actifs de la plante de cannabis, ceux-ci ne sont capables que de libérer de la bêta-endorphine. Les neurones, par essence, ne libèrent plus cette hormone qui nous dit qu’il est temps d’arrêter de manger puisque nous avons atteint la satiété.

Le fait est qu’aujourd’hui, l’incertitude domine et la réponse à la question « est-ce que le cannabis fait grossir ? n’a pas encore de réponse définitive.

Ce qui est certain, c’est que, pour donner une idée de la situation actuelle, des chercheurs de l’Université de Montréal en une publication sur les pages de Pharmacologie Biochimie ont clairement indiqué que le cannabis peut entraîner à la fois un gain de poids et une perte de poids, en tenant compte d’un ensemble de facteurs qui affectent les particularités du consommateur et de son corps, ainsi que le type de consommation qui est effectué.

Fondamentalement, bien que le cannabis contenant du THC puisse stimuler une sensation d’appétit temporaire, il n’y a pas suffisamment de données pour montrer qu’il s’agit d’épisodes impromptus qui ne devraient pas être directement liés à une prise de poids à long terme.

Perdre du poids avec le CBD ?

Commençons par une prémisse nécessaire. Il n’y a pas de “baguette magique” pour perdre du poids en peu de temps et sans aucun engagement et vous ne devez pas élever un produit ou une substance spécifique – dans ce cas le CBD – à un remède immédiat pour les kilos superflus. Une alimentation saine, éventuellement convenue avec votre diététicienne, et une activité physique régulière sont les ingrédients d’une perte de poids efficace et saine.

Récemment, cependant, net de propriétés des cannabinoïdes présent dans Cannabis sativa, la communauté scientifique a pris les premières mesures pour vérifier les éventuels effets thérapeutiques du cannabis dérivés de son action sur le métabolisme humain.
Une des premières études pour indiquer un rôle possible du CBD dans la consommation de graisse corporelle remonte à il y a quelques années, en 2016, et a été menée par une équipe de recherche coréenne.

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J’étudie, publié dans Molecular and Cellular Biochemestrydécrit comment le cannabidiol (CBD) est capable d’agir de trois manières différentes sur les cellules graisseuses appelées préadipocytes.

Selon l’étude, le CBD serait capable d’augmenter la capacité à brûler des caloriesaider à décomposer les graisses et à diminuer les mécanismes par lesquels de nouvelles cellules graisseuses sont créées dans notre corps.

À partir de ces observations, les chercheurs ont conclu que cet ensemble de mécanismes devrait être étudié plus avant, pour une éventuelle application thérapeutique du cannabis pour le traitement de l’obésité.

De plus, le cannabidiol (CBD), contrairement au THC, n’a pas d’action sur les mécanismes qui sont à la base d’une sensation d’appétit soudaine et non motivée. Autrement dit: Le CBD ne provoque pas de fringale.

Les propriétés du Cannabidiol sur notre corps

La recherche scientifique démontre de plus en plus les grandes propriétés du cannabidiol sur notre corps. Le CBD est considéré comme sûr, sans effets secondaires substantiels et prometteur dans divers domaines également par l’Organisation mondiale de la santé.

Parmi les différents domaines de recherche sur les effets du cannabidiol, l’un des plus récents est précisément celui qui étudie une action possible pour soutenir la consommation de calories. Il n’y a toujours rien de définitif et les recherches se poursuivent.

En attendant de comprendre si le CBD peut vraiment être une aide valable pour une alimentation équilibrée, nous pouvons l’utiliser en toute sécurité une huile de CBD extraite de la plante de chanvre aussi comme ingrédient pour nos recettes, peut-être dans le cadre d’un programme personnel d’alimentation équilibrée.

L’huile de CBD aide à réduire le risque de diabète et d’obésité

Le rôle de cannabis le métabolisme représente donc l’une des questions sur lesquelles la recherche scientifique a commencé à s’intéresser relativement récemment, mais avec plus de curiosité et d’intérêt.

Plusieurs études ont montré que les consommateurs réguliers de cannabis ont un indice de masse corporelle plus faible, un tour de taille plus petit et un risque réduit de Diabète Et obésité.

Une des premières études pour indiquer un rôle possible du CBD dans la consommation de graisse corporelle remonte à il y a quelques années, en 2016, et a été menée par une équipe de recherche coréenne.

J’étudie, publié dans Molecular and Cellular Biochemestrydécrit comment le cannabidiol (CBD) est capable d’agir de trois manières différentes sur les cellules graisseuses appelées préadipocytes.

Selon l’étude, le CBD serait capable d’augmenter la capacité à brûler des calories, d’aider à décomposer les graisses et de diminuer les mécanismes par lesquels de nouvelles cellules graisseuses sont créées dans notre corps.

À partir de ces observations, les chercheurs ont conclu que cet ensemble de mécanismes devrait être étudié plus avant, pour une éventuelle application thérapeutique du cannabis pour le traitement de l’obésité.

Un rapport de 2011 publié dans l’American Journal of Epidemiology, basé sur une enquête auprès de plus de 52 000 participants, a conclu que les taux d’obésité sont inférieurs d’environ un tiers chez les consommateurs de cannabis.

Cela se produit malgré le fait que les participants ont tendance à consommer plus de calories par jour, une éventualité liée à la stimulation que le THC effectue sur le ghrélineune hormone qui augmente l’appétit mais augmente en même temps le métabolisme des glucides.

Une étude de 2006 intitulée “Le cannabidiol réduit l’incidence du diabète chez les souris diabétiques non obèses“a prouvé que le CBD a la capacité de réduire l’incidence du diabète chez les souris de laboratoire.

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Selon cette étude, le CBD peut inhiber et retarder l’insulite dégénérative et la production de cytokines inflammatoires, réduisant ainsi l’incidence du diabète.

En 2015, cependant, un groupe d’étude conjoint israélo-américain a commencé à travailler sur une nouvelle phase d’utilisation du CBD, comme traitement du diabète.

Erwan fan du CBD en thé

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